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Prix Femina pour Jayne Mansfield 1967 aux éditions Grasset

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Lagardère Publishing

Paris, le 07 novembre 2011

prix Femina, Simon Liberati, Jayne Mansfield 1967, éditions Grasset.Simon Liberati a reçu, le 7 novembre, le prix Femina pour Jayne Mansfield 1967 paru aux éditions Grasset.

Simon Liberati est né en 1960 à Paris. Il est l’auteur aux éditions Flammarion de trois romans : Anthologie des apparitions (2004), nada exist (2007) et L’hyper Justine (2009, prix de Flore).

« Aux basses heures de la nuit, le 29 juin 1967 sur un tronçon de la route US 90 qui relie la ville de Biloxi à la Nouvelle Orléans, une Buick Electra 225 bleu métallisé, modèle 66, se trouva engagée dans une collision mortelle. »
Au moment où le roman s’ouvre, cette voiture n’est plus que tôle froissée, métal écrasé, vitres explosées… Au sol, un chihuahua mort, une mèche blonde peroxydée, des flaques d’huile, de l’essence, du sang. Tout près, un gigantesque camion de dix-huit mètres, cause de l’accident. La scène se passe en Louisiane. Dans cette Buick broyée se trouvait une femme, une « Hollywood movie star » de trente-quatre ans, danseuse nue à Las Vegas, célébrissime sex-symbol des années 1950.
A partir de ce spectaculaire événement, la mort de Jayne Mansfield dans un crash automobile, Simon Liberati dresse un portrait de l’actrice, fouille dans les recoins les plus mystérieux de sa vie, retrace ses dernières heures. Il raconte la prédilection pour le rose et la tentation du satanisme, l’amour des chiens et le whisky à haute dose, les enfants orphelins et les coups de ses amants. La vie désaxée et la mort par décapitation.
Fascination pour la violence, érotisme de la mort, joie de contempler et de dire la destruction : c’est le roman du morbid chic, du baroque moderne.

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