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Prix du premier roman français pour Du temps qu’on existait aux éditions Grasset

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Lagardère Publishing

Paris, le 10 novembre 2011

prix de Flore, éditions Grasset, Marien Defalvard, Du temps qu'on existait.

Après avoir reçu le prix de Flore, Marien Defalvard a reçu, le 15 novembre, le prix du premier roman français pour Du temps qu’on existait paru aux éditions Grasset.

Marien Defalvard a 18 ans. Il vit à Orléans.

Cela commence par un enterrement. Cela finit par un enterrement. Entre les deux, l’homme que l’on enterre prend la parole et raconte sa vie.

Le récit commence dans les années 1970, où le narrateur est encore un enfant. Un fils de famille bourgeoise qui s’ennuie. Il combat cet ennui par des sarcasmes et des rêveries. Les années passent. Il promène à travers la France (Paris, Lyon, Brest, Tours), sa grande intelligence offusquée par la vulgarité des temps.

Que l’on ne s’attende pas à des aventures picaresques : ce livre est l’étonnant récit d’une sensibilité, des premières amours adolescentes à la douceur des dernières heures, où le héros rencontre enfin la joie.

Si la vie l’a oublié, le personnage n’a pas oublié de s’en moquer. Entre de grands passages mélancoliques où, avec toute sa virtuosité, le très jeune auteur décrit magnifiquement des paysages, des voyages en train ou la neige tombant sur Lyon, on trouvera des moments de satire, sur la vie de famille et les mères, par exemple, et de l’humour pur, comme la savoureuse description d’une partie de Monopoly. Un enchantement continuel.

 

 

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